Claudine MIALHE

Ma mamie d’amour, 🌸🌟🤍
Merci pour ta douceur, ta gentillesse, ton amour infini et tous les merveilleux moments que
nous avons partagés avec toi.
Tu étais pour nous un repère de tendresse, un soutien sans faille, toujours souriante et
heureuse à chaque fois que nous passions du temps ensemble.
Vous savez, c’est si précieux quand on voit dans les yeux de quelqu’un qu’on est tout son
monde. Eh bien, notre mamie, c’était ça. Dès qu’on franchissait sa porte, on se sentait
comme le plus précieux des trésors. Ses yeux brillaient d’amour et de fierté. Et qu’il est bon
de se sentir aimé de cette façon-là, d’un amour pur, sans condition, indestructible.
Je me rappelle, quand on était petits, si on tombait malades, maman nous déposait chez
mamie pour qu’elle s’occupe de nous. On était presque contents d’être malades... La
légende dit même qu’une fois, on aurait fait semblant, juste pour passer la journée avec elle
!
Dans son petit appartement, avec son canari, son geai des bois empaillé et tous ses petits
trésors avec lesquels on jouait, on était bien.
Je me souviens aussi de ses attentions : ses œufs au lait, sa bonne blanquette quand on
rentrait de vacances... Et puis, c’est elle qui nous a initiés à nos premières séries : Les Feux
de l’amour et Amour, gloire et beauté, rien que les titres font rêver !
Elle nous a appris à jouer aux dames, aux petits chevaux, et à chaque fois qu’elle dormait à
la maison, je faisais tout pour me réveiller la nuit et me glisser discrètement dans son lit.
Parce qu’il n’y a sans doute rien de plus doux et de plus réconfortant qu’une mamie.
Et puis papa et maman t’ont trouvé une petite maison, à seulement un kilomètre de chez
eux, pour qu’on puisse veiller sur toi un peu mieux et profiter encore davantage de ta
présence.
On venait te voir à pied, en traversant le petit bois et le chemin blanc. Tu y étais bien,
entourée de tes fleurs et des petits oiseaux que tu aimais tant.
On venait se régaler des cerises au mois de juin, comme un doux rituel.
Tu as pu y rester jusqu’au bout, chez toi, libre, autonome, avec toute ta tête et toute ta
dignité.

Depuis des années, nous avions notre petit rituel du soir : un message pour se raconter la
journée. Ces petits messages voulaient surtout dire : « Tu vois, je t’aime, je pense à toi. »
Ils commençaient toujours par « Coucou mamie d’amour » et se terminaient par « Bonne
nuit mamie, je t’aime, à demain. »
Aujourd’hui, même s’il n’y a plus de “demain”, moi, je t’aimerai pour toujours.
J’ai eu la chance de réaliser un de mes rêves : que tu connaisses mes enfants. Je voulais
tellement que tu puisses profiter d’eux et eux de toi.
Je suis si heureuse d’avoir de si jolis souvenirs de vous ensemble.
Il y a à peine un mois, tu étais à la maison pour les deux ans de Noé. On avait mangé un
couscous tous ensemble, et comme toujours, Elio et Noé étaient ravis de te piquer ta canne
pour la transformer en rotofil, ou de venir boire un petit jus de fruits chez leur grand-mamie.

Eux aussi ont perdu une de leurs plus grandes fans, toujours si heureuse de recevoir des
photos et des vidéos de ses deux petits loulous.
Elio aurait voulu te garder plus longtemps parmi nous. Quand je lui ai dit que tu étais partie,
il m’a répondu :
« Maman, tu crois que je peux prendre le squelette de Grand-mamie pour le montrer à
maîtresse Murielle ? »
Toi aussi, je suis sûre que tu aurais ri. ❤️
Nous sommes si fiers d’avoir été à tes côtés jusqu’au dernier moment. D’avoir pu
t’embrasser, te câliner, et te dire à quel point on t’aime.
C’étaient des instants très durs, mais aussi très beaux. Tu étais belle et douce jusqu’au bout,
mamie.
Mamie d’amour, ton souvenir vivra à jamais dans nos cœurs.
Ton amour, ta tendresse et ta lumière continueront de nous accompagner,
comme une étoile bienveillante qui ne s’éteindra jamais. 🌟

Mamie,

Tu étais d'une extrême gentillesse.

J'ai la chance d'avoir uniquement des souvenirs de toi heureuse.

Et tu avais le don de me rendre heureux, par ton sourire, ta bienveillance, tes bonbons et ta cuisine au beurre.

Tu voulais toujours nous faire plaisir, et je n'ai jamais autant aimé les vendredis midi que cette année de collège où je pouvais venir manger chez toi.

Revenir de vacances d'hiver devenait une bonne nouvelle tant on était contents de passer la soirée avec toi et de manger ta blanquette et tes œufs au lait.

Tu étais intéressée par tout, comme le prouvait ton programme télé : sport, jeux télé, informations, séries, documentaires… On pouvait discuter de tout.

J'essaye de garder toutes ces choses qui te rendent exceptionnelle.

J'ai eu la chance de te voir il y a peu de temps, tu nous as reconnus avec Clémence alors que tu étais malade, et tu t'es inquiétée pour nous en nous demandant si on travaillait le lendemain et en nous souhaitant une bonne soirée.

Merci pour tous les bons moments passés ensemble.

Je t'aime Mamie

Merci claudine
Tu as changé ma vie. De ton union avec Henri est née Isabelle. Et de notre union est
née tout d’abord Solène ta petite fille, puis David ton premier petit fils et enfin
Nielsou.
Et enfin ? Non pas « et enfin », puisque sont arrivés tes deux arrières petits fils Elio
et Noé. Ils étaient tes rayons de soleil de tous les jours. Mais je ne peux pas dire « et
enfin », non je ne le peux pas, il y a Julien et clémence le chéri de Solène et la chérie
de David.

Tout cela se passe en plus de 30 ans, soit un tiers de ta vie, ce grand bout de chemin
que notre famille a eu la chance de partager avec toi. Ta douceur et ta simplicité ont
fait de toi un membre important de la famille. Tu prenais des nouvelles de tout le
monde et avais une mémoire hors norme.

Tu nous as entouré de ton affection d’abord tous les deux. L’arrivée de tes 3 petits
enfants a fait grandir la famille et ta place. Tu allais les chercher à l’école, en
conduisant parfois un peu trop au centre de la route les dernières années. Tu nous
préparais quand on rentrait de vacances une blanquette de veau et des œufs au lait
(Isabelle n’aime pas les œufs au lait mais moi j’adore). Tu gardais la maison, le chat,
les poules en notre absence. Tu as entouré tes 3 petits enfants de beaucoup
d’amour et ils te le rendaient bien.

Enfin arrivent Elio et Noé, les petits cœurs qui t’appellent « grand mamie ». Quand je
passais te voir dans ta maison à Onzain dans laquelle tu vivais depuis 16 ans, nous
regardions ensemble des photos et des vidéos des deux loulous. Dans tes yeux je
voyais de l’admiration. Ton sourire et tes éclats de rire complétaient le tableau. « Ils
sont formidables ».

Tu étais donc de la famille et même à l’origine d’une belle branche de notre arbre
généalogique. Tu adorais venir au méchoui pour passer du temps avec Monique et
Malou. Cécile m’a dit que tu dois être au paradis des mamies avec elles. Violette et
maman je ne vous ai pas cité, vous êtes encore bien là avec nous.

Quand je disais à Plume « on va chez mamie » elle allait directement à la porte.
Plume connait le chemin par cœur. On passait un moment ensemble, regardait des
photos sur la tablette (ça je l’ai déjà dit), mais j’ajoute que vous m’offriez une bière.
C’est Isabelle qui faisait le plein de votre frigidaire toutes les semaines.

Tu as eu la chance d’être autonome jusqu’à la fin. Tu te faisais à manger. Tu disais
tout le temps que tu ne mangeais pas beaucoup, mais toutes les semaines le frigo
était vide. Sans doute un miracle.

2 jours avant ton départ, alors que tes idées étaient un peu confuses, tu m’as
demandé comme dans un retour en enfance « il y a encore des dinosaures » ? J’ai
répondu « pas beaucoup ». Deux nuits plus tard alors qu’avec Solène on te veillait,
l’urgentiste est venu te faire un soir de bouche. Tu étais inconsciente depuis des
heures, sans réaction mais apaisée. Il t’a placé une petite éponge sur les lèvres avec
du liquide. Tu tétais ce liquide avec une belle vigueur. Une réaction de plaisir sur ton
visage. Un retour en petite enfance. Un dernier petit cadeau, merci claudine.

Alors oui pour tout, Merci claudine.
Depuis ton départ j’ai une petite chanson d’Enzo Enzo en tête dont le refrain te va si
bien.
Juste quelqu’un de bien
Quelqu’un de bien
Le cœur à portée de main
Juste quelqu’un de bien
Sans grand destin
Une mamie à qui l’on tient
Juste quelqu’un de bien
Quelqu’un de bien.

Merci claudine, maman, mamie, grand mamie.

Maman
Ta présence bienveillante et joyeuse m'a accompagné toute ma vie . Tu as été une merveilleuse mamie et grand mamie. Tu nous manque déjà infiniment .
Merci maman pour tout ce que tu as donné, pour ce que tu étais . Tu resteras dans nos cœurs et dans nos vies .
je t'aime
Isabelle

Merci pour tout, tu était et restera la meilleur Mamie du monde tu continueras à vivre dans ma mémoire pour toujours. Je ne peut m’empêcher de repenser à tout les goûters partagé ensemble ou tu achetais absolument toute mes friandises préféré, tu as toujours tout fait pour nous faire plaisir et tu le faisais à merveille. Je t’aime fort
Niels

Je garderai un doux et joyeux souvenir de Claudine. Toujours apprêtée et jolie, toujours le petit mot et l'enveloppe pour nous faire plaisir, un grand coeur 💌 Je te fais des bisous, repose toi au paradis des mamies🤍🌈

Bras dessus bras dessous, nous avons partagé un beau bout de chemin de plus de 30 ans, avec plaisir et en confiance. Merci Claudine. ❤️🌹

Claudine avait une “vraie” envie de continuer à vivre. Elle y est arrivée, longtemps et avec beaucoup de moments heureux, grâce à chacun de vous. Elle en était consciente, comme le prouvent ces nombreuses photos qui apaisent le chagrin de sa disparition. Noé ne pourra plus faire le coupe-fil avec sa canne. Elio et lui vivent cette première expérience douloureuse, si marquante dans chacune de nos vies…
Jacques

Mamy Claudine, ma consoeur en grand-mère et arrière- grand-mère ! titres dont nous sommes si fières et si heureuses !

Vous étiez toutes et tous et surtout les petits, notre sujet de conversation favori ! « tu as vu la vidéo sur leurs petits vélos ! ils sont vraiment formidables ! et quand ils sont dans la boue ! et quand ils mangent des framboises ! et quand Elio conduit le tracteur avec Noé dans le remorque ! »

Elle adorait montrer ses dernières photos sur sa tablette.
Le dernier mardi avant les vacances, je suis passée comme je le faisais de temps en temps à Onzain avant la répétition de chorale.
J’avais apporté une tartelette au citron et comme Claudine savait que j’allais passer, elle avait préparé ses plus jolies assiettes à dessert, et de belles petites tasses à café, et nous avons pris notre goûter dans la salle à manger !
Nous étions ravies de notre petite gourmandise et Claudine s’était régalée avec la tarte au citron. ?
Je pensais passer la voir mardi prochain…
C’est sûrement un gros chagrin pour vous tous, et nous le partageons.
Nanie