Jean GORTHEAU

Cher Jean,

Tu rejoins maintenant l’au-delà.
Cette fois-ci c’est toi qui es monté haut, très haut. Plus haut que les avions que tu admirais tant.

Pendant plusieurs décennies, nous t’avons connu sur ton vélo. Un vélo qui te permettait de parcourir villes et campagnes au gré de tes envies. Au gré des cavalcades, fêtes de villages, cueillettes de jonquilles et de champignons. Ton vélo c’était ta petite lucarne, et sans doute ton instrument de liberté. Une liberté qui t’étais chère…jusqu’à ce que tu ne puisses plus te déplacer comme tu voulais.

Nous étions amusés de ta curiosité intacte au fils des années. Tu faisais preuve d’un enthousiasme sans cesse renouvelé. Nous étions également touchés par ton amour des animaux, toujours une pensée pour nos petites bêtes.

Nous n’aurions pas assez de place ici pour raconter toutes les anecdotes qu’on te connaissais, ou que tu nous racontais.

Tu nous a fait rire, tu nous a émus, touchés.
Pour nous c’est évident : tu étais unique en ton genre !
Avec tout notre amour.

Nathalie