Norman,
J'aurais aimé vous connaître plus tôt.
Nous avons passé quelques heures assis l'un à côté de l'autre, à écouter d'autres parler, à nous échanger des regards amicaux et complices.
La lumière dans le regard du vieil homme, dont parle Victor Hugo : je l'ai trouvé dans vos yeux.
Votre chaise laissée vide m'attristait. Votre chaise désormais éternellement vide m'attriste infiniment.
Je vous invite au Panthéon de mon cœur, où vous aurez toujours une place d'honneur.
Amitiés
Maxime